La russophobie s’acharne contre Schröder
Un lecteur indigné par les propos d’un Clémenceau méprisant nos intérêts européens
Au moins, cette fois-ci Clémenceau (pas le président du conseil) se vautre dans une russophobie et des attaques de bas étage contre le chancelier Schröder et le Président Poutine, ne serait-ce que par le choix de mots.
Au passage, je pense que le chancelier devrait demander un droit de réponse, qui pourrait faire mal.
En outre, l’emploi du verbe fricoter dans son sens péjoratif est insultant.
Quand on se comporte comme un larbin soumis, il ne faut pas s’étonner de se voir traiter comme tel.
Enfin, aucune alternative n’est proposée, le larbin aura des devoirs de vacances car il a oublié de rappeler que l’intérêt de l’Europe était d’acheter des hydrocarbures liquéfiés étasunien au double du prix qui se justifie pour garder notre indépendance (sans rire).
Un commentaire appliqué de cet article insultant appelle deux remarques lourdes:
la première est que le chancelier Schröder est “à vendre” puisse qu’on peut se l’offrir.
Certes, l’expression a été employée pour des sportifs de haut niveau mais elle n’avait pas le même contenu laissant penser que ceci cache une contre-partie inavouable (corruption ou autre) se référant aux talents des dits sportifs aux salaires mérités ou non c’est une autre histoire.
Secundo, on note une appréciation négative d’une action visant à éviter une nouvelle guerre froide. J’en conclue que la guerre froide c’est bien. A ce train là, une guerre tout court ce serait super alors?
Enfin, je complète l’expression d’annexion par la force des … 2,5% des électeurs qui ont voté non au référendum, à supposer qu’ils n’aient pas changé d’avis depuis.
Pierre