Les attaques ukraino-otaniennes en “toile d’araignée”

Les attaques otano-ukrainiennes d’inspiration britanniques en juin 2025 en territoire russe internationalement reconnu  contre des voies de chemin de fer, le pont de Crimée et des avions bombardiers vecteurs nucléaires ont été célébrés par l’appareil de propagande occidental. Le narratif imposé a qualifié l’opération de “Pearl Harbour” russe, ce qui trahit pour le moins l’inspiration anglo-saxone de l’opération (de communication essentiellement), et le peu de soucis d’une cohérence historique car Pearl Harbour s’est mal terminé pour les Japonais et le bombardement, connu en fait à l’avance des autorités américaines, a servi de prétexte à l’entrée en guerre des Etats-Unis. A moins que l’un des buts de l’attaque contre les bombardiers stratégiques russes aient été justement de provoquer une réaction forte de Moscou pour entrainer l’administration Trump réticente à revenir auprès des plus bellicistes des gouvernants européens de l’ouest.

Ca n’a pas vraiment marché : le président Trump a téléphoné au président Poutine et lui a dit ne pas avoir été mis au courant de ces attaques. Il a en plus annoncé sans jugement de valeur que le président russe lui avait annoncé une réaction inévitable. Mais pas nucléaire, comme l’auraient sans doute espéré certains des fauteurs d’attentat. En fait, les dégâts, contrairement aux affirmations de la PropagandaStaffel  occidentale, ont été relativement minimes sans être insignifiants et ne pouvaient avoir aucune conséquence sur les opérations militaires en Ukraine. Quant aux attentats terroristes proprement dits ne visant pas des objectifs militaires comme les ponts de chemin de fer, ils n’ont fait que renforcer la détermination dans l’opinion russe d’en finir avec le régime kiévien.  Tans que l’OTAN et les moyens américains lui garantissent la couverture satellitaire et l’armement, notamment en drônes les opérations continueront lentement, les Russes cherchant à économiser leurs hommes et se refusant à pratiquer les destructions totales à l’occidentale comme en Irak, en Libye ou à Gaza.

Voici trois analyses sur le sujet utiles aux membres et lecteurs de stoprussophobie.