Qui sommes-nous ?
Bienvenue sur le site d’information et de lutte contre la russophobie en France, contre le mensonge et la haine, pour une information fiable et honnête : un site de réinformation et d’agglomération des nouvelles et analyses alternatives à la doxa et au narratif otano-occidental
www.stoprussophobie.info
Vous avez peut-être pensé ou on vous l’a dit, que vous alliez ouvrir un site «pro-russe».
Horreur !
Il n’en est rien : vous êtes sur un site pro-français. Des Français qui, comme le général de Gaulle cité en exergue, estiment qu’il est de l’intérêt de la France, compte tenu de son passé, de concevoir son futur dans un ensemble eurasiatique avec la Russie. D’où notre effort de lutter contre la russophobie, odieuse et imbécile.
L’intensification du conflit armé en territoire ukrainien avec le lancement par la Russie en 2022 de «l’opération militaire spéciale», après les 8 ans de guerre du régime ukrainien contre la région du
Donbass et le coup d’état à Kiev en février 2014, a ouvert un déchaînement de propagande médiatique et politique, calculé par ses initiateurs, mais qui ont permis un véritable délire et un déchaînement de haine anti-russe à caractère raciste.
On a ainsi interdit Dostoïevski en Italie, exclu des chats «russes» d’une exposition féline, renvoyé de chefs d’orchestre et musiciens russes d’Alsace ou d’Espagne, interdit à des athlètes paralympiques de participer aux J.O, admis ou fait des autodafés de livres en russe, toléré voire encouragé des discriminations bancaires et autres contre des gens au nom à consonance russe ou d’ascendance russe, laissé passer sans réagir des propos comme «les Russes sont comme des rats et des cloportes» à la télévision… (passible des tribunaux… imaginez un autre
peuple).
Ce racisme est tel que même de «nouveaux immigrés» ou des opposants professionnels anciens, parfois prêts à servir l’étranger contre leur pays d’origine et utilisés comme tels, a un effet boomerang quand ces mêmes personnes sont aussi victimes de discriminations, comme cela s’est produit dans les pays baltes… Sans parler de la condescendance traditionnelle à l’égard de ce genre d’individus.
Le traitement médiatique de la crise syrienne (2011 à aujourd’hui) où les Russes ont pourtant arrêté l’établissement d’un sanctuaire islamiste, après les campagnes de presse unilatérales à propos de l’Ukraine (depuis 2004 et la «révolution» orange), ou l’invention d’une «attaque russe de la Géorgie» quand cette dernière a envahi l’Ossétie (août 2008) en tuant les casques bleus russes, ont réveillé de vieux démons russophobes dans une Europe malmenée par l’histoire ces deux derniers siècles.
C’est pourquoi dès 2016, l’association «Stoprussophobie, comité de vigilance contre la haine et pour la paix en Europe», est créé. Puis ce site
htpp//:www.stoprussophobie.info
est lancé. Puis souvent attaqué.
Depuis, un fil twitter, une chaîne telegram, un facebook et un tiktok représentent Stoprussophobie. Nous appelons ceux qui soutiennent ce travail à diffuser les informations.
En fait, ce traitement médiatique occidental de plus en plus délirant, particulièrement chez nous, a suivi la décision d’organismes états-uniens de mener une campagne contre la Russie en s’appuyant sur un narratif fabriqué autour de l’affaire dite Magnitsky en 2009. Cette décision qui était stratégiquement justifiée par la détermination nord-américaine à ne pas permettre un rapprochement russo-allemand ou européen en général (cf. l’intervention de George Friedman de Stratfor à Chicago) et sans doute à préparer l’affrontement dès que possible avec la Russie pour parvenir à la démanteler, sur le modèle yougoslave.
Comme l’annonce le projet attribué à des opposants russes qui n’ont rien à refuser à l’OTAN. Vous trouverez toutes ces références sur ce site.
Ce vieux projet de l’état-profond et de certaines grandes compagnies états-uniennes de mettre la main sur les richesses du sous-sol russe, a été relancé au niveau politique et médiatique mondial après le refus mémorable de la France et de l’Allemagne de participer au dépeçage anglo-saxon de l’Irak. Il a suivi une intervention remarquée du président Vladimir Poutine à Munich en 2007.
En France pourtant, où le discours à l’ONU sur l’attaque contre l’Irak du Ministre des Affaires étrangères Dominique de Villepain restera longtemps comme la dernière manifestation appréciée de souveraineté, le sentiment anti-russe n’est pas massif dans la population, malgré de forts préjugés et une méconnaissance abyssale.
Mais le déchaînement médiatique et les prises de position intéressées ou craintives d’une partie maintenant importante de notre personnel politique au profit et sous la direction de chefs d’orchestre d’outre Atlantique a porté atteinte aux sentiments plutôt russophiles, fréquents en France dans de larges couches populaires et parmi la véritable intelligentsia.
Une conséquence importante est la violation constante de la déontologie journalistique, l’un des garde-fous potentiels contre les dérives citées précédemment. En piétinant la déontologie professionnelle, on introduit aussi une atteinte à la moralité, en raison des jugements à double standards : la victime russe d’un acte terroriste est transformée en coupable, dans les faits de guerre sur le territoire ukrainien, les Russes sont accusés de tous les méfaits, le plus souvent avec des accents de haines pour compenser l’absence de preuves un
tant soit peu sérieuses.
Au point que des principes de base de la République comme la liberté d’information, l’accès à une information fiable et équilibrée, la liberté de parole et d’opinion sont mis en cause. C’est un danger pour le fonctionnement d’une société citoyenne et démocratique, voire même pour une concurrence pure et parfaite rêvée par les théoriciens d’une économie de marché. Et bien sûr, c’est un encouragement à la xénophobie et aux discriminations.
Le parti-pris systématique anti russe, la dissimulation d’informations, les jugements de valeur à géométrie variable de la plupart, voire de la totalité des grands médias, aboutissent à une perte
de crédibilité des principales sources d’information pour le corps social.
La dissimulation de la xénophobie sous une pseudo opposition au président actuel de la Russie, dont la diabolisation constante n’est qu’une des formes de la russophobie, ne fait aucun doute : il suffit de comparer le traitement médiatique du président russe à celui d’autreschefs d’État pour s’en rendre compte ou de remplacer le mot russe par une autre nationalité, ethnie ou religion pour s’apercevoir sur le champ, du caractère raciste du message passible de poursuites.
Il ne s’agit pas pour autant d’ignorer les analyses cohérentes et sourcées d’opposition aux pouvoirs en Russie. Encore faut-il qu’elles parlent de vrais problèmes sur le même ton que s’il s’agissait d’autres pays et qu’elles ne soient pas une simple énumération de thèmes imposés et/ou répétés, comme c’est souvent le cas.
Aujourd’hui, la réaction la plus fréquente dans l’opinion en France est: «on sait qu’on nous ment mais on ne sait pas toujours en quoi et ce qu’il en est en réalité». C’est à cette préoccupation que
répond Stoprussophobie.info et ses dérivés en reprenant les meilleures informations et analyses publiées sur les réseaux sociaux ou dans des pays où ne sévit pas la censure.
Le climat russophobe entretenu artificiellement contre les intérêts de notre société, notre ruralité, nos entreprises et de notre pays au sein de l’Europe, détériore nos relations internationales, notre expérience diplomatique et nos intérêts économiques et géopolitiques.
Il prépare psychologiquement les populations à la guerre qui a déjà saigné notre continent à deux reprises, au cours du XXème siècle.
Il est contraire à la volonté de paix et de tranquillité de la majorité de la population française, à laquelle la haine du russe, qu’on tente de lui imposer, est totalement étrangère et saugrenue.
C’est pourquoi existe le site
www.stoprussophobie.info
Servez vous en et n’hésitez pas à lui fournir des articles et un soutien.
Pour son fonctionnement, ce site dépend aussi de vous : son principe est la participation par la veille (le monitoring) de tous ceux qu’indigne et/ou inquiète cette vague de russophobie, aussi absurde que dangereuse aujourd’hui et plus encore par rapport aux projets mondiaux
inavouables qu’elle est sans doute destinée à préparer.
Nous n’avons pas les moyens de faire autre chose que dénoncer ces tentatives et compléter l’information qui n’arrive pas ou qui est systématiquement déformée.
Relever les textes, les émissions et les faits les plus caractéristique et les plus significatifs des manifestations russophobes et les commenter en fournissant les éléments manquants ou corrigeant les faits biaisés, devrait permettre cette réinformation souhaitable. Tout un chapitre doit être consacré à la «révision de l’Histoire», façon OTAN:
La 2ème guerre mondiale fut gagnée par … les Américains! Des «soldats» (lesquels?) ont libéré Auschwitz, les jeunes Japonais ne savent pas qui a lancé les bombes nucléaires sur Hiroshima et Nagazaki…
Souhaitons qu’on puisse calmer le jeu, malgré la disproportion de moyens. L’avenir le dira.
Il dépendra de la participation de tous.
Envoyez les textes, photos, émissions, qui vous paraissent caractéristiques de la haine anti-russe avec vos commentaires et corrections des mensonges colportés à
l’adresse:
contact@stoprussophobie.info
Présentez votre candidature à l’adhésion à l’association