Ukraine : wokisme et satanisme
et de nos jours le « wokisme », soit le LGBT et plus largement, le rejet de la civilisation occidentale.
Les principaux acteurs de cette révolution des mœurs sont la fondation Open Society de George Soros mais aussi l’OTAN, alliance militaire créée en 1949 pour être le bras armé du globalisme, et qui mène sa guerre hybride mondiale non seulement à coups de missiles mais aussi dans les champs médiatiques, culturels et psychologiques, militant depuis des années pour la « diversité inclusive » et la « société ouverte ».
En 2017, à l’occasion de la «Journée internationale contre l’homophobie », le secrétaire général de l’OTAN, Jens Stoltenberg,
affirmait sur Twitter que « partout dans le monde, les LGBT ont droit à une vie digne, préservée de
l’exclusion et de la peur », et que « la diversité rend nos sociétés ouvertes plus fortes et plus sûres ».
L’alliance militaire commentait ensuite sur son site cette déclaration de son porte-parole : « L’OTAN a
été pionnière à l’échelle mondiale en ce qui concerne la reconnaissance du mariage entre personnes de
même sexe. Elle a accordé les mêmes prestations à tous les agents mariés dès juillet 2002, à une
époque où le mariage entre personnes de même sexe n’était reconnu que par un seul pays dans le
monde – les Pays-Bas. L’Organisation est attachée à la diversité. Toute discrimination fondée sur
l’orientation sexuelle, le sexe, la race ou l’origine ethnique, la religion, la nationalité, le handicap ou
l’âge est strictement interdite au sein de l’OTAN. » (1)
Cet agenda politique surréaliste progresse depuis des années au niveau international par la violence et
la ruse. En Ukraine, la Révolution Orange de l’hiver 2004-2005 fut déclenchée par les réseaux
globalistes pour annuler l’élection présidentielle qui venait de porter un candidat “pro-russe” à la tête de
l’État (Viktor Yanoukovitch), puis obliger la population à re-voter un troisième tour, qui vit quelques
semaines plus tard la victoire du candidat pro-américain (Viktor Youchenko). Après avoir volé «
légalement » leur élection aux Ukrainiens, le pouvoir issu de ce coup d’État institutionnel prenait des
mesures officielles parfaitement dissonantes et contradictoires. D’une part, réhabiliter la mémoire des
collaborateurs ukrainiens du nazisme, notamment Stepan Bandera, et relancer un fort mouvement de
nationalisme ethnique cultivant un idéal de « pureté de la race blanche », comme l’écrivait en 2007
Andriy Biletskiy, fondateur du régiment Azov. (2) D’autre part, et en même temps qu’il parrainait le
néo-nazisme en Ukraine, le gouvernement ukrainien travaillait à rééduquer le peuple ukrainien en
faveur de l’immigration et du métissage. Comment ? Par des initiatives d’ingénierie sociale, c’est-à-
dire de transformation méthodique de la société visant à préparer psychologiquement les Ukrainiens à
disparaître dans le « village global » post-national et post-racial. Dès 2006, les nouvelles autorités
créaient une mission gouvernementale de fabrique du consentement à la société ouverte, avec le
soutien de l’Union Européenne et d’une agence de l’ONU, l’Office International pour les Migrations
(OIM), nommée tout d’abord « Initiative pour la diversité » (Ініціатива Розмаїття/Diversity
Initiative), puis Diversipedia à partir de 2015. (3) Cette mission se donnait pour objectif de «
combattre la haine » (hate speech) et de renforcer le cosmopolitisme en Ukraine avec des événements
culturels d’agit-prop « antiraciste » (ethno-masochiste) calqués sur le modèle occidental : en mai 2008,
un spectacle au Centre Africain de Kiev dans le cadre de la « Journée de l’Europe » (4) ; en 2011, une
campagne d’affichage urbain de photographies d’individus d’origine africaine, arabe et asiatique,
sous-titrées en ukrainien « Nous partageons tous des émotions, la couleur de la peau ne compte pas »
(5) ; en 2012, un clip vidéo intitulé « Sentez le rythme de la diversité culturelle ! » (6), etc. En 2017,
venait s’ajouter un autre programme intitulé « Journée de la tolérance dans les cités interculturelles
d’Ukraine », soutenu par le gouvernement allemand et le Conseil de l’Europe. Le 4 mars 2022, cet
organe mondialiste publiait un communiqué en écriture inclusive pour apporter son soutien au
gouvernement ukrainien : « Renouvelant notre engagement à construire des sociétés inclusives,
pacifiques, résilientes et interculturelles en faisant de l’égalité, de l’avantage de la diversité, de
l’interaction interculturelle significative et de la participation les piliers politiques pour assurer le bien-
être des citoyen-ne-s et la mise en œuvre des droits humains, Nous, Maires des Cités Interculturelles
du monde entier, sommes solidaires avec l’Ukraine (#StandwithUkraine) et réaffirmons notre soutien
et notre solidarité à long terme à son peuple et à ses dirigeant-e-s, (…) ». (7)
En octobre 2022, les hostilités déclenchées par Kiev en 2014 avaient déjà poussé des millions de civils
ukrainiens sur les routes du déracinement et de l’exil, essentiellement en Russie, où les réfugiés de
guerre ukrainiens s’élevaient à 2.852.395 millions d’individus. (8) Pendant ce temps, l’Office
International pour les Migrations affirmait sur son site qu’elle s’efforçait de défendre le bien-être, non
pas des Ukrainiens en Ukraine, mais « des migrants, des réfugiés et des minorités visibles en Ukraine
», et qu’elle pouvait compter pour cela sur « plus de 65 organisations des secteurs international, civil,
des entreprises et gouvernemental, ainsi que des missions diplomatiques et des individus intéressés. »
(9)
Après l’immigration extra-européenne, le second volet du wokisme s’est implanté dans le champ
institutionnel en Ukraine juste après l’EuroMaïdan, le coup d’État de l’hiver 2013-2014 qui a permis
au nouveau pouvoir d’inscrire dans le droit ukrainien tout l’arsenal juridique LGBT. Ceci aboutira à
légaliser les défilés de la Gay Pride dans plusieurs villes, mais aussi au phénomène curieux des «
soldats LGBT », réunissant des homosexuels et des transsexuels voulant se battre contre la Russie, et
organisés dans un syndicat nommé Union of Military LGBT of Ukraine parrainé par l’ambassade des
USA, comme on peut le voir sur son site internet. (10) En mars 2023, alors que la guerre était censée
faire rage en Ukraine, la députée LGBT Inna Sovsun trouvait le temps de déposer au parlement
ukrainien un projet de loi pour obtenir la légalisation du « mariage homosexuel ». Un an auparavant, la
même parlementaire apportait son soutien au régiment Azov sur Twitter en faisant au passage un peu
de « management de la réputation » pour essayer de modifier l’image de l’organisation et réaliser la
greffe avec le LGBT plus facilement. Inna Sovsun écrivait le 30 mars 2022 : « Le bataillon Azov, qui
défend Marioupol, que les pseudo-médias russes qualifient de terroriste, n’est pas nazi. Les
organisations LGBT ukrainiennes donnent maintenant de l’argent à Azov. Pensez-vous qu’elles
financeraient des nazis ? Je pense que la réponse est évidente. (…) Un peu plus sur l’armée
ukrainienne. Saviez-vous qu’il existe une organisation militaire LGBT en #Ukraine ? Et elle existe
parce qu’il y a des centaines de personnes LGBT dans notre armée. Voici une photo d’une colonne
militaire de la marche des fiertés [Gay Pride] à #Kyiv. Ces gens ressemblent-ils à des nazis ? » (11)
Evgenia Bilchenko est une poétesse ukrainienne réfugiée en Russie. (12) Figure repentie de
l’EuroMaïdan, elle disait à l’auteur de ses lignes pendant une discussion à Saint-Pétersbourg que ses
anciens compatriotes nazis étaient en fait des sortes de punks à swastika, confirmant que les signes de
ralliement affichés doivent être interprétés comme des symptômes.
Car en effet, il semble que cet attelage de gauchisme et de suprémacisme blanc ne soit encore que le masque d’un mal sans doute
encore plus insidieux, à savoir la progression de l’occultisme en Occident. Cet occultisme arrive par
l’extrême-gauche mais aussi par l’extrême-droite. L’ésotérisme d’extrême-droite puise ses racines
dans le romantisme allemand et le mouvement völkisch, avec ses aspects prométhéens et progressistes,
et s’étend des nazis historiques (SS, Himmler) aux néo-nazis ukrainiens. Il a attiré également une
partie du mouvement de la Nouvelle Droite, parfois pour de bonnes raisons, notamment la curiosité
intellectuelle – ce qui est aujourd’hui parfois reproché indûment à Alexandre Douguine ou à son
éditeur en France, Christian Bouchet. Cet occultisme de droite partage avec les gauchistes «
antifascistes » et LGBT un même profil psychologique transgressif et une même fascination pour le
dépassement de la condition humaine, thème possédant sa légitimité culturelle mais risquant à tout
moment de dégénérer dans le transhumanisme. L’engagement dans cette subculture occultiste peut
constituer une phase normale du développement psychique. En revanche, après un certain âge, l’intérêt
pour ces idées est régressif, car le principe de réalité doit l’emporter, et les individus qui restent
bloqués dans cet univers mental révèlent qu’ils sont animés d’une sorte de démon de la démesure, ce
que la psychologie appelle aussi l’inflation narcissique – parfois en réaction de compensation à des
blessures narcissiques, réelles ou perçues comme telles. Les rédacteurs du récit de la propagande de
guerre anti-russe – les Spin Doctors du Storytelling occidental – savent militariser ces faiblesses
psychiques pour les réorienter sur la Russie en fonction du segment de population ciblé et de son
folklore particulier. Les raisons qui animent ensemble l’extrême-droite et l’extrême-gauche
ukrainiennes et pro-ukrainiennes sont donc fondamentalement les mêmes, mais exprimées
différemment. Ces motivations communes de tous les pro-ukrainiens se résument dans le rejet de tout
principe de réalité venant limiter et brider l’expansion de leur volonté de puissance et de jouissance.
Le point commun du nazisme, du wokisme et de l’Occident collectif dont ils constituent les fondations
apparemment contradictoires, est le refus en bloc de tout surmoi, donc de toute limite et de toute
autorité, incarnée aujourd’hui dans la figure de Vladimir Poutine, ainsi que dans les règles de droit
international inspirées des traités de Westphalie, dont Hitler se moquait dans Mein Kampf. Ce rejet de
limites légales fixes définies par des conventions s’accomplit au nom d’un culte de l’égocentrisme
tout-puissant, complètement sourd à toute forme d’altérité et d’extériorité, débouchant sur une
violence physique aveugle, destructrice et autodestructrice. Carl-Gustav Jung ira jusqu’à comparer
Hitler à Wotan (Odin) et les nazis aux Berserkers, ces guerriers furieux de la mythologie nordique.
(13)
En toute logique psychologique, les pro-ukrainiens d’extrême-droite et d’extrême-gauche se retrouvent
donc à la fin du même côté sur le champ de bataille. De nombreux anarchistes libertaires, prenant
comme référence historique Nestor Makhno et son mouvement de guérilla révolutionnaire des années
1918-1921, vont se battre avec le régiment Azov contre la Russie, jugée ennemie prioritaire. On
observe le même redéploiement des idées et des engagements physiques dans le camp d’en face. Les
dénominateurs communs de part et d’autre du clivage pro-russe et pro-ukrainien correspondent à des
profils psychologiques. L’alliance du wokisme et du suprémacisme blanc, tous unis contre la Russie, a
incubé au sein du régime de Bruxelles, ce monstre à deux têtes que sont l’UE et l’OTAN, et qui se
caractérise par une quête d’hégémonie sans limites. Les pro-ukrainiens sont animés par une
fantasmatique expansionniste infinie, la même que celle de l’OTAN, dont ils représentent la branche
militaire, paramilitaire et civile. Ils en veulent « toujours plus » et sont dans l’hybris du principe de
plaisir, avec ses traductions transgressives, élitistes, impérialistes et colonialistes. Ce sont donc des
mondialistes avoués ou qui s’ignorent, et ils se recrutent dans les mouvements suprémacistes blancs et
LGBT, en passant par les groupes islamistes impliqués contre la Syrie. À l’opposé, les pro-russes (et
pro-syriens), du leader musulman Ramzan Kadyrov aux nostalgiques de l’URSS, cultivent une vision
politique et géopolitique plus immobiliste, populiste et conservatrice. Cette division pro-
ukrainiens/pro-russes recoupe le clivage fondateur entre la Mer et la Terre théorisé par Carl Schmitt et
les penseurs de l’eurasisme depuis Nicolaï Troubetzkoï.
En 2022, les thèmes de la dénazification et de la dé-satanisation de l’Ukraine émergent dans les prises
de parole officielles des autorités russes, que ce soit dans les discours de Vladimir Poutine ou chez
Alexeï Pavlov, secrétaire adjoint du Conseil de sécurité de la Fédération de Russie, qui déclarait
publiquement que les sectes satanistes s’étaient multipliées en Ukraine depuis les années 1990 avec
l’ouverture libérale à l’Occident et en particulier depuis le putsch EuroMaïdan de 2014, après lequel «
les nouveaux cadres installés au pouvoir par Washington ont appliqué des projets ordonnés depuis
l’autre côté de l’océan ». Or, au milieu des réformes économiques, l’un de ces projets « consistait à
reformater l’esprit des citoyens ukrainiens pour les forcer à abandonner des traditions séculaires et à
interdire les vraies valeurs de la foi chrétienne orthodoxe, de l’islam et du judaïsme. En utilisant la
manipulation des réseaux et les psycho-technologies, les nouvelles autorités ont transformé l’Ukraine
d’un État en une hyper-secte totalitaire. » (14)
En période de guerre froide, les USA menaient leur guerre culturelle par la promotion de l’American
Way of Life, fondé sur le capitalisme et un mode de vie consumériste, et aujourd’hui par la promotion
d’un satanisme institutionnel, qui n’en est que le prolongement logique. Cette implantation du
satanisme en Ukraine progresse dialectiquement au moyen du gauchisme anti-occidental mais aussi
d’un certain néo-paganisme anti-chrétien fort prisé dans les milieux néo-nazis, lesquels sont très actifs
en Ukraine et bénéficient de la protection des réseaux mondialistes anglo-américains depuis des
décennies. Le néo-paganisme ukrainien a été théorisé au 20e siècle par un intellectuel du nom de
Vladimir Shayan, qui fonda un mouvement religieux pan-aryen polythéiste, apporta son soutien au
nazisme et à ses supplétifs ukrainiens (Stepan Bandera) pendant la Deuxième Guerre mondiale, et fut
ensuite exfiltré en Angleterre où il termina sa vie en 1974. L’un de ses disciples, Lev Sylenko, fondera
la secte anti-chrétienne Run Vira, qui permettra à la CIA de recruter des militants anti-soviétiques en
période de guerre froide, et aujourd’hui anti-russes, la nature du régime en place à Moscou n’ayant
aucune importance.
En Russie, l’objectif de dé-satanisation est naturellement soutenu par le clergé
chrétien orthodoxe, dans la mesure où ce dernier est une cible du néo-paganisme militarisé par les
ennemis de la Russie – de Londres à Wall-Street, en passant par Berlin. Le média conservateur russe
Tsargrad écrivait en mai 2022 : « Selon le Père Alexander Novopashin, vice-président de
l’Association russe des centres d’étude des religions et des sectes, presque tous les cultes néo-païens
sont fondés d’une manière ou d’une autre sur l’interprétation nazie de la mythologie scandinave, qui,
contrairement à la mythologie slave, possède encore des sources écrites. “L’une des principales raisons
de la popularité du néo-paganisme parmi les radicaux de droite est le précepte de leur chef
idéologique, Adolf Hitler, qui, à la fin de sa vie, avait l’intention de faire des croyances païennes
scandinaves une religion supplémentaire, une sorte de culte de la haine et du sang.” (…) Les
principaux adversaires aux yeux de ces personnalités étaient les héritiers russes de l’empire byzantin
orthodoxe ou simplement les panslavistes. Les échos des idées néo-païennes ont trouvé leur place dans
le développement du mouvement skinhead dans les anciens territoires de la CEI [approximativement
ex-URSS]. Le néo-paganisme étant tout à fait légal en Ukraine, certains skinheads d’extrême-droite
ont pris ses valeurs comme référence morale. » (15)
Le paganisme est avant tout une vision du monde écologiste, organique et holiste, et il est impossible
de réduire cette approche au nazisme ou au satanisme. En revanche, le néo-paganisme à l’allemande
ou à l’ukrainienne est un phénomène de type post-moderne, c’est-à-dire une reconstruction a
posteriori, donc une copie, une imitation, une parodie. La société de consommation étant capable de
tout recycler, le mouvement skinhead ukrainien vend aujourd’hui des T-Shirts « Lucifer » sur son site
Militant Zone, consacré au courant musical du Black Metal nazi (National-Socialist Black Metal,
NSBM). (16) En outre, même dans leur version originale et authentique, les religions peuvent toutes
être militarisées pour lever des armées, et ceci sans trahir leur fonction première, qui est de gérer
l’agressivité à l’intérieur du groupe en la réorientant sur un ennemi extérieur, réel ou imaginaire.
Chaque communauté humaine possède un potentiel de violence latente à maîtriser pour conserver la
cohésion du groupe. Ces tensions internes doivent être pacifiées par un récit fondateur qui les rejette
sur une cible extérieure en position d’exutoire et de « bouc émissaire ». Chaque idéologie, religion,
spiritualité ou philosophie, peut ainsi être utilisée comme un levier psychologique et un déclencheur
comportemental (trigger) pour fabriquer des combattants qui réagiront de manière stéréotypée à
certains mots-clés désignant l’ennemi et provoquant chez eux des réflexes conditionnés d’agressivité
dirigée. Le militantisme fanatique obéit à des règles universelles et recrute dans tous les milieux –
skinheads, antifascistes, islamistes, sionistes, etc. Ces processus de radicalisation visant à fabriquer de
la chair à canon sont universels et correspondent à ce que René Girard a appelé les mécanismes de
rivalité mimétique et de montée aux extrêmes dans un crescendo de haine et de violence aboutissant au
meurtre d’innocents. Avec le moment abrahamique du bouc émissaire dans la Genèse, le judaïsme met
fin à la pratique païenne du sacrifice humain. Cependant, toujours selon René Girard, seul le
christianisme permettrait d’installer durablement des « zones de désescalade » en appliquant le pardon
et en dépassant l’esprit de vengeance par l’amour du prochain. Nous tenons là une explication
rationnelle de l’antichristianisme unissant tous ceux qui cherchent la guerre de tous contre tous et
veulent mettre la planète à feu et à sang.
(1) « Tweet du secrétaire général à l’occasion de la Journée internationale contre l’homophobie »,
OTAN, 17/05/17.
https://www.nato.int/cps/fr/natohq/news_143802.htm?selectedLocale=fr
(2) « Le social-nationalisme racial ukrainien. Un article d’Andriy Biletsky, du régiment Azov,
présenté par Lucien Cerise »
https://www.egaliteetreconciliation.fr/Le-social-nationalisme-racial-ukrainien-
70294.html#forum3064832
(3) « Diversipedia 2.0: updated website to promote cultural diversity in Ukraine », IOM Ukraine,
05/08/15.
https://ukraine.iom.int/news/diversipedia-20-updated-website-promote-cultural-diversity-ukraine
(4) « Шоу Африканського центру, День Європи, Київ, 11 травня 2008 »
https://web.archive.org/web/20170401140527/http://diversipedia.org.ua/en/photo-reports
5
(5) Diversity Initiative, Campaign Materials : « We are all united by our emotions. The colour of our
skin doesn’t matter », « Усіх нас єднають почуття. Колір шкіри не має значення ».
https://web.archive.org/web/20161012092119/http://diversipedia.org.ua/en/campaign-materials
(6) « Feel the rythm of cultural diversity! », « Відчуй ритм культурного розмаїття! », IOM Ukraine,
17/01/12.
(7) « Déclaration par les Cités interculturelles sur la solidarité avec l’Ukraine », Conseil de l’Europe,
04/03/22.
https://www.coe.int/fr/web/interculturalcities/-standwithukraine
(8) « Operational Data Portal – Ukraine Refugee Situation », Agence des Nations Unies pour les
réfugiés.
https://data.unhcr.org/en/situations/ukraine
(9) « Promoting Cultural Diversity and Integration of Migrants », IOM Ukraine : « DI is a voluntary
cooperation platform, which strives to uphold the human dignity and well-being of migrants, refugees
and visible minorities in Ukraine. It currently includes over 65 organizations from the international,
civil, corporate, and Government sectors as well as diplomatic missions and interested individuals. »
https://ukraine.iom.int/promoting-cultural-diversity-and-integration-migrants
(10) Union of the Military LGBT of Ukraine.
https://lgbtmilitary.org.ua/eng
(11) « Azov Battalion, which is defending Mariupol, which #Russian pseudo-media call terrorists is
not Nazis. #Ukrainian LGBT organizations are now donating money to Azov. Do you think they
would fund Nazis? I think the answer is obvious. (…) A little more about the Ukrainian army. Did you
know that there is an LGBT military organization in #Ukraine? And it exists because there are
hundreds of LGBT people in our army. Here is a photo of a military column from the Pride March in
#Kyiv. Do these people look like Nazis? »
Azov Battalion, which is defending Mariupol, which #Russian pseudo-media call terrorists is not Nazis. #Ukrainian LGBT organizations are now donating money to Azov.
Do you think they would fund Nazis? I think the answer is obvious.— Inna Sovsun (@InnaSovsun) March 30, 2022
(12) « Appel de l’ancien "Poète du Maïdan" envers l’Europe », Revue Méthode, avril 2018.
https://www.revuemethode.org/m041809.html
(13) « Essai sur Wotan par C.G. Jung », WICCA, 03/10/21.
http://wicca-monde.over-blog.com/2021/10/essai-sur-wotan-par-c.g.jung.html
(14) « В аппарате Совбеза РФ считают все более насущным проведение "десатанизации"
Украины » (« L’appareil du Conseil de sécurité de la Fédération de Russie considère qu’il est de plus
en plus urgent de procéder à la "désatanisation" de l’Ukraine ») : « Одна из них –
переформатировать умы украинских граждан, заставить их отказаться от многовековых
традиций, запретить настоящие ценности, которые несут православная вера, ислам и иудаизм.
Используя сетевые манипуляции и психотехнологии, новые власти превратили Украину из
государства в тоталитарную гиперсекту. », Tass, 25/10/22.
https://tass.ru/politika/16150577
(15) « Кровавые ритуалы "Азова"*: Украину превратили в сатанинское капище » (« Les rituels
sanglants d’Azov : l’Ukraine transformée en temple satanique »), Первый русский Царьград,
15/05/22 : « По словам вице-президента Российской ассоциации центров по изучению религий и
сект (РАЦИРС) Александра Новопашина (отец Александр), практически все неоязыческие
культы так или иначе опираются на нацистское осмысление скандинавской мифологии, у
которой, в отличие от славянской, остались письменные источники. "Одна из главных причин
популярности неоязычества у праворадикалов – завет их идеологического вождя Адольфа
Гитлера, который в конце жизни намеревался сделать скандинавские языческие верования
дополнительной религией, своеобразным культом ненависти и крови," (…) Главными
противниками в глазах этих деятелей были русские наследники православной Византии или
просто панслависты. Отголоски неоязыческих идей нашли своё место во время развития
скинхед-движения на территориях бывшего СНГ. Так как в Украине неоязычество было вполне
себе легальным, часть праворадикальных бритоголовых деятелей взяли именно его ценности за
морально-нравственные ориентиры. »
https://tsargrad.tv/articles/krovavye-ritualy-azova-ukrainu-prevratili-v-sataninskoe-kapishhe_547316
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